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t un système de gestion de

files apparaît pour le plus

grand bonheur des 1500

patients/jour, sur le site du

Sart Tilman. Les inscriptions pour

les consultations polycliniques

retrouvent le rez-de-chaussée

Jour important pour les patients du

CHU de Liège, site du Sart Tilman :

ce lundi 18 avril a lieu le transfert

des inscriptions des polycliniques.

Celles-ci se faisaient au -1 devant

17 guichets, sans gestion de files.

A partir du lundi 18, c’est un retour

aux sources et au rez-de-chaussée,

sous la grande verrière dans un des

deux pavillons «

historiques

» signés

Charles Vandenhove. A la route

670 ! Le CHU de Liège en profite

pour réorganiser son accueil.

«

Il faut savoir que nous accueil-

lons quelque 1500 inscriptions par

jour pour des consultations en po-

lycliniques. Ces patients, qui ont un

rendez-vous, s’inscrivaient au -1,

juste au pied de l’escalator. Le ma-

tin, à l’ouverture, il y avait des files

devant les guichets, explique Alain

Didderen, chef du secteur Accueil

Patients. Et il n’y avait pas de sys-

tème de gestion des files : c’était le

hasard qui faisait que le patient at-

tendait plus ou moins longtemps

».

De retour au rez-de-chaussée, sous

la grande verrière, le pavillon, que

jouxtera un espace d’attente, pro-

posera 15 guichets et … une borne

qui distribuera les tickets renvoyant

vers le guichet disponible. «

Cela va

simplifier le flux

».

RÉORGANISATION

Lors qu’il arrivera devant la borne,

Route 670 - INSCRIPTIONS. Le

patient aura d’abord à choisir entre

trois options :

• Hospitalisation classique

ou de jour

L’ACCUEIL DES PATIENTS

ROUTE 670

les inscriptions reviennent

dans la grande verrière

Sur la borne (les écrans sont disponibles en quatre langues : FR-NL-

DE-EN) , l’écran suivant demandera au patient de préciser le type

de sa carte d’identité, puis il sera invité à prendre place dans la salle

d’attente voisine. La borne lui délivrera un ticket avec son numéro.

Dès que ce numéro apparait sur les écrans de la salle d’attente,

il pourra se présenter au guichet conseillé.

Les nouveaux guichets seront ouverts de 7h30 à 17h30. Pour les

consultations sont programmées après 17 h 30, les patients pour-

ront se présenter à l’accueil, toujours dans la verrière. La «

préins-

cription

» aura été organisée et l’agent à l’accueil donnera le numéro

de route pour arriver au lieu de consultation. Le médecin aura déjà

le dossier.

«

Principal avantage, conclut Alain Didderen, c’est la gestion

des flux de patients. Fini les files concurrentes : tout le monde

est sur un pied d’égalité

». Il y a un autre avantage aussi : la récu-

pération d’un espace au -1 qui sera affecté à de nouveaux boxes

de consultation. Mais c’est une autre histoire.

Le 18 avril, il ne sera plus nécessaire de descendre au niveau -1 pour s’inscrire.

AU PROFIT DE LA FONDATION LÉON FRÉDÉRICQ,

FONDATION HOSPITALO-UNIVERSITAIRE DE LIÈGE

1

ère

édition

27 mai

Pro-am (sur invitation)

28 mai

Single stableford

Renseignements

service.communication@chu.ulg.ac.be

POLICLINIQUE OU POLYCLINIQUE ?

Ne nous disputons pas sur l’ortho-

graphe de poli- ou poly-clinique :

les deux orthographes sont cor-

rectes. Mais elles ont des nuances,

comme l’explique le Pr Pierre Le-

febvre dans un numéro (avril 1979)

de la Revue Médicale de Liège. La

«

policlinique médicale

» fut créée

en 1937 par le Pr Lucien Brull et

elle s’écrivait avec un «

i

». Du grec

«

Polis

» (ville) et clinique. Tan-

dis que polyclinique vient du grec

«

Polys

» (plusieurs) et clinique. «A

bien des titres, écrit le Pr Lefebvre,

la « policlinique » avec i est une

« polyclinique » avec y. Il est toute-

fois intéressant de constater que la

définition même de policlinique,

selon Robert, inclut la mission

d’enseignement :

« Policlinique :

établissement, parfois annexé à un

hôpital, où l’on donne des soins à

des malades qui ne sont pas hos-

pitalisés et où se tiennent égale-

ment des cours d’enseignement

médical ayant trait aux malades

qui viennent en consultation. Le

mot est souvent confondu avec

son homonyme Polyclinique.

» A

soumettre aux réformateurs de

l’orthographe, nombreux depuis

1979…

• Consultation d’Anesthésie

• Consultation polyclinique

Puis il lui restera à suivre

les indications.

Pour l’hospitalisation, le patient devra

opter entre les formalités administra-

tives et financières et les formalités

logistiques (télécommande TV, carte

de téléphone, internet). Puis il sera

renvoyé vers la Route 692. Pour la

consultation polyclinique, le patient

devra s’identifier : Personne à Mobili-

té Réduite / Première visite au CHU /

Dernière visite au CHU date de + de

5 ans ou de – de 5 ans. Le client PMR

sera directement orienté vers le guichet

adapté.

La notion de «

nouveaux patients

» ou

de «

Patients dont la dernière visite

date de + de 5 ans

», ce qui représente

quelque 10 % de la patientèle, permet

aux autres patients de gagner du temps :

les «

nouveaux

» et les «

+ de 5 ans

»

doivent faire l’objet d’une réinscrip-

tion qui dure administrativement plus

longtemps. Pour cette raison, ils seront

orientés vers la route 692 ou un accueil

individuel personnalisé leur sera réser-

vé. Ils recevront une nouvelle brochure

appelée « welcome pack » les informant

sur l’Institution et son fonctionnement.

ATTENTATS DE BRUXELLES 

Une minute de silence

Après les attentats de Bruxelles du

22 mars, les hommages aux victimes,

le soutien à leurs proches et les

marques de félicitations aux services

de secours se sont multipliés.

Une minute de silence a ainsi été res-

pectée le mercredi 23 mars à midi. Le

CHU de Liège et la Faculté de Méde-

cine de l’ULg se sont associés pour

cet hommage dans la cour de l’hôpi-

tal du Sart Tilman et dans le hall d’ac-

cueil de Notre Dame des Bruyères. Le

service des Grand Brûlés du CHU a

accueilli trois victimes des attentats.

Bénédicte et Pascal ont quitté l’hôpi-

tal. «

Je tiens à remercier l’ensemble

des services,

a expliqué Pascal au

journalistes de L’Avenir.

Ces infir

mières et infirmiers sont des être

exceptionnels, pas seulement pour les

soins prodigués mais également pou

leur écoute

». Un troisième patient est

toujours hospitalisé au CHU. (Photos

Claudy Petit - L’Avenir)

.

LA SEMAINE DU GLAUCOME

315 dépistages, 30 «suspects»

PARODONTOLOGIE

Le 12 mai, testez vos gencives

La semaine du glaucome s’est dé-

roulée du 8 au 11 mars. Le CHU de

Liège a installé un véritable cabi-

net d’ophtalmologie dans la grande

verrière du Sart Tilman, l’occa-

sion de faire passer des messages

de prévention. Les équipes du Pr.

Nathalie Collignon ont réalisé 315

dépistages. 10 % des personnes

contrôlées, «suspects», ont été in-

vitées à des examens complémen-

taires. 10 cas de glaucome avéré ont

été détectés.

Le 12 mai est la journée euro-

péenne de parodontologie et, du-

rant toute la semaine du lundi 9 au

vendredi 13 mai, des dépistages de

la maladie parodontale sont réalisés

chez les dentistes ainsi qu’au dépar-

tement de parodontologie du CHU

de Liège.

Objectif : sensibiliser le pu-

blic à l’importance des gencives

saines. Près de 8 personnes sur

10 de plus de 35 ans sont atteintes

d’une forme débutante ou plus

avancée de maladie parodontale.

Renseignements et inscriptions sur

www.parodontologie.be